Actualité militaire

La vie dans nos casernes                                                RETOUR

L'écho des casernes

Le deuxième classe Stan Poulaiquassé a été pris en flagrant délit, alors qu'il tentait de voler une lampe dans la cité voisine de la caserne avec un véhicule de service, pour remplacer celle de sa veilleuse de lit qui était grillée. Le gardien de la cité a alerté la police, qui a aussitôt cerné le troufion félon afin de le cueillir lorsqu'il redescendrait. Le général Hailequetryc est venu en personne avec son aide de camp, le colonel Debrochay-Sosnanthua, pour mettre le soldat aux arrêts de rigueur, et le confier au capitaine Hulachiez. Ce dernier devra le conduire auprès du lieutenant Ciédebar qui le laissera aux mains du sergent Peuplu chargé de le foutre en tôle. Heureusement que la discipline règne encore et que la hiérarchie est respectée chez nos protecteurs armés.
De notre reporter au camp de Taphondu Lès Plons, Marc Hanssiel.

L'écho des casernes

De notre reporter à la caserne de Tyvafor Sur Lafine, Marc Hanssiel.
Le brigadier-chef Maxime Nalajoi, qui venait d'être nommé dans la police montée, s'est perdu dans les étages et n'a pas trouvé son nouveau bureau. Du coup, il est redescendu au rez de chaussée où se trouve celui du capitaine Ernest Sudaiste, DRH délégué à l'orientation des fonctionnaires égarés, à qui il a tenté d'expliquer qu'il était meilleur dans les descentes. En attendant donc la prochaine descente de police dans laquelle il pourra donner le meilleur de lui-même, il a provisoirement été affecté au service du bar, au mess qui est au sous sol.
Tout est bien qui fini bien.

L'écho des casernes

De notre envoyé spécial au camp militaire de Sapayte Les Mines, Marc Hanssiel.
Après un exercice de tir à vue manqué au cours duquel le nez de l'adjudant Henri Carsinondeux avait été confondu avec le rond rouge du centre de la cible, le caporal Yves Wapacler, auteur du tir malencontreux avait prétendu avoir perdu la vue. Les premières recherches étant restées vaines, le caporal avait alors été aussitôt placé en garde à vue par mesure de précaution. Rebondissement hier soir, lorsque le deuxième classe Bernard Detsoubiroux s'est aperçu qu'il voyait double en rentrant du foyer. Ayant par un hasard malencontreux croisé le lieutenant-colonel Hubert de Trinquemouille, il lui a aussitôt fait part de son trouble. Ce dernier a réagit promptement en faisant placer le malheureux soldat dans la même cellule que l'infortuné caporal. Ils ont ainsi pu procéder à un échange de vues sur les circonstances réciproques de leurs mésaventures, à la suite de quoi le caporal a miraculeusement recouvré la sienne. Les deux nouveaux amis se sont congratulés, se promettant mutuellement de ne pas se perdre de vue.

L'écho des casernes

De notre envoyé spécial Marc Hanssiel au Camp militaire de Mezy-Laydouat :
Le lieutenant Jean-Marie Sordutrou, pilote de chaudron professionnel, sortait du mess des sous officiers avec son plateau repas afin de le savourer au grand air, lorsqu'un individu qui ne manquait pas d'estomac, s'est jeté sur lui pour attaquer son repas à sa place. C'est la troisième fois qu'une attaque de repas se produit dans la région. La police est sur les dents.


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